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Alessandra Ponte

 

Alessandra Ponte est une enseignante à temps plein à l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Elle a d’ailleurs enseigné aux écoles d’architecture de Princeton University, Cornell University, Pratt Institute New York, le ETH Zurich et à l’Istituto Universitario di Architettura di Venezia. Elle fut professeure adjointe au School of Design of Built Environment and Engineering à Queensland University of Technology (Brisbane, Australie), a donné plusieurs ateliers en collaboration avec le AA School London et le Catholic University of Santiago de Chile et des séminaires à l’University of Costa Rica. Pendant dix ans, elle fut responsable de la conception et de l’organisation du Phyllis Lambert INternational Seminar, une colloque annuelle tenue à l’Université de Montréal, qui adresse des sujets actuels touchant au paysage et à l’architecture. Elle a organisé l'exposition Total Environment: Montréal 1965-1975 (Centre Canadien de l’Architecture, Montréal, 2009) et collaboré à l’exposition et au catalogue God & Co: François Dallegret Beyond the Bubble (avec Laurent Stalder and Thomas Weaver, London: Architectural Association Publications, 2011). Elle a publié à de nombreuses reprises, incluant récemment une collection de thèses sur le paysage nord-américain intitulé The House of Light and Entropy(London: AA Publications, 2014). Elle a contribué au Pavillon Canadien au Venice Biennale Architecture en 2014 (Arctic Adaptations) et en 2016 (Extraction). Depuis 2013 jusqu’en 2016, elle fut une membre du groupe de recherche Future Northa partnership et elle fut récemment invité à collaborer sur un des projets de l’Office for Urbanization (Graduate School of Design, Harvard University) intitulé Landscape as Urbanism in the Americas. En 2014, 2015 et 2016, avec l’aide d’étudiants à la maîtrise en architecture ainsi que des collaborateurs, elle a investigué les activités minières et des colonies dans trois régions géologiques de la province du Québec: la Fosse du Labrador (pour le fer), la Faille de Cadillac (pour l’or, le cuivre et le nickel) et le district de Thetford Mines (pour l’amiante, l’ardoise et le granite). Durant les deux dernières années, toujours en coopération avec les d’étudiants à la maîtrise en architecture et les collaborateurs, elle a entreprit des recherches sur l’information technologie et de l’architecture. Ces travaux de recherches fut regroupé dans deux volumes intitulés Architecture et information 2.0 (2017, 2018).

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